Chanson à Voir
« Chanson à Voir » écrit par l’illustrateur et ami Jean Pierre Joblin. est un projet de livre collaboratif artistique. 12 artistes de l’association Les Arts se sont réunis autour de la musique et des émotions que certain titre laisse comme une empreinte indélébile tout au long de notre vie.
Le livre illustres et présente 30 émotions liée à 30 titres de la chanson française . Pour ma part j’ai choisi l’illustration de deux titres « la groupie du pianiste » de Michel Berger et « il venait d’avoir 18 ans » de Dalida
La groupie du Pianiste
Michel Berger
A travers ce titre, Michel Berger raconte l'histoire d'une jeune fille amoureuse d'un pianiste. Pour lui, elle est prête à tout. Même aller jusqu'au bout du monde. Elle l'attend, et est prête à satisfaire ses moindres désirs et envies. Qui mieux que sa compagne France Gall, jeune pouvait illustré cette chanson. J’ai donc tout naturellement illustré la chanson par un représentation de France Gall d’inspiration Pop Art et de Picasso.
Les personnes qui ont les mêmes inclinations, les mêmes habitudes, se recherchent souvent mutuellement artistiquement, le coté engagement humanitaire de se couple mythique à du faire écho en moi a mes valeurs humanistes profondes.
Le couple Gall – Berger accompagné de Daniel Balavoine ou encore Richard Berry se sont engagés toute leur vie contre le fléau de la famine qui frappe l'Afrique. Cet engagement humanitaire nommé « Action Ecoles » est par ailleurs illustré par la chanson « SOS Ethiopie » interprétée par le couple Gall-Berger.
Il venait d’avoir 18 ans Dalida
Dalida, diva engagée, qui au delà du strass et paillette des interprétations musicales de l’artiste Chanteuse, « Il venait d’avoir 18 ans » évoque également un évènement tragique de sa vie de femme, sur fonds d’histoire d’amour le sujet de sa stérilité.
Son itinéraire traverse l’histoire du féminisme. Née en 1933 en Egypte, à une époque où les femmes n’étaient pas très libres ; le film de sa vie se termine en 1987 sur une scène Francaise, où nous avons bénéficié de nombre d’avancées sociales, même si tout n’a pas été libération pour les femmes de la génération de Dalida...”